jeudi 9 mai 2024

Pour se retrouver et passer un bon moment

 

 

Parce qu'on est tous différents, mais qu'on a tous les mêmes objectifs.  

Pour échanger sur tous les sujets qu'on aime.

Venez partager un repas, et une agréable soirée, sur la thématique "Provençale" : 

Dress code suggéré (non obligatoire) : Provençal ;

Nos meilleurs chanteurs de Biot entonneront quelques belles chansons locales :)

 

Réservez vite !

 

 




mardi 7 mars 2023

Compte rendu de réunion Obligations Légales de Débroussaillage.

 

 

 

La réunion s’est tenue comme souhaité le lundi 6 mars à 18 h 15.


Étaient présents :

Conseillers Municipaux,

Police Municipale,

deux membres des Services Techniques,

anciens Conseillers Municipaux,

ONF (Office National des Forêts),

Public participatif et intéressé,

Régisseur de la salle,

Total : quinze personnes présentes.



Objet de la réunion :

Intervention bien rodée de M Bruno Teissier du Cros.


Son discours pour ceux qui le connaissent, fut un peu une redite de ses précédentes interventions, mais il est particulièrement intéressant.

Très pédagogique, il articule son intervention en deux parties, elle même subdivisées en deux parties :


1°) Présentation de l’évolution du risque dans un contexte historique : avec quelques grandes dates :

1927 : forêts pâturées, cultures vivrières ;

1947 : diminution des cultures, augmentation des garrigues et des habitations ;

2022 : disparition des cultures : les habitations sont à proximité des forêts.


2°) Présentation des risques d’incendie.


- Les causes : malveillance et imprudence pour 92 % des cas ; le reste étant des reprises d’incendie, foudre, travaux de particuliers, travaux agricoles, travaux forestiers, dépôts d’ordure, accidents, lignes électriques.

 Deux Biotoises en profitèrent pour déplorer le peu d'entretien sous les lignes électriques, le long du Chemin de St Julien.


- les effets d'un incendie : sont de deux sortes :


° La chaleur : un embrasement éclair provoque une température de 2000 degrés ; un camion de pompiers n’y résiste pas, puisque la température y monterait à 1000 degrés.


° Autre effet : les gaz naturels spécifiques à la forêt méditerranéenne : les terpènes non brulés partent en fumée et sont très nocifs, proches du curare.



3°) Les solutions au niveau des pouvoirs publics

La France dispose pour toute la France, de 10 Canadairs opérationnels, et de 6 Dash (qui sont complémentaires et ne remplacent pas les canadairs). A noter aussi 3 hélicos.

Cette flotte n’est pas prévue pour voler de nuit.


Or, le changement climatique obligera à partager ces moyens avec des régions qui jusqu’à présent n’étaient pas concernées par le risque incendie (exemple typique : le Jura).


Par ailleurs, pour fabriquer des Canadairs, il faut dans la pratique un délai d’attente de 10 ans …





4°) Les solutions au niveau des particuliers :


Pour illustrer les solutions proposées, il nous a été distribué un « flyer » au format A4 plié en deux, intitulé « A conserver : Protégez vous contre les incendies, débroussaillez ! » 


Ce prospectus comprend pages 2 et 3 une explication (trop) parcellaire mais schématique et intéressante, sous forme de dessins, de l’arrêté 2014-452 qui régit les OLD. (Obligations Légales de Débroussaillement).


En page 4 un plan de zonage de notre commune avec l’indication : « sans valeur réglementaire ».


Il donne toutefois une bonne indication sur ce qui doit se faire.


En clair, tous les péchés capitaux du monde sont imputables au cyprès.


Oh Vincent Van Gogh ! Qui peindra comme toi la flamme verte des cyprès sous le bleu du ciel de Provence !


Et pourtant à entendre l’ONF, il s’agit d’une espèce à exterminer.


Les obligations de débroussaillage concernant aussi les pouvoirs publics, ou les institutionnels, par exemple le long des routes ou des lignes électriques, ou ferroviaires, forcément dans le public une allusion a été faite à la Route CD4 qui relie Antibes à Grasse, et qui est truffée de cyprès, chez des particuliers, ainsi que sur des propriétés communales.


La réponse n’a pas changé : les abattre coute de l’argent à la collectivité, et nous (pouvoirs publics) ne rentrerons pas dans le débat de savoir ce que coûtent les OLD aux particuliers.


A priori, quand il n’y aura plus de cyprès, l’autre espèce à exterminer sera le mimosa.


L’autre volet consiste à organiser la prévention, de deux manières :


La première, pour ceux qui peuvent, consiste pour leur maison à éviter les gouttières en PVC (car cela fond à 200 degrés), et à s’assurer que leur toit est protégé par des plaques sous tuiles. 

Naturellement, si elles ne contiennent pas trop d’amiante, c’est mieux. 

Un entretien du toit est conseillé (on évitera les accumulations d’aiguilles de pin).


Ceux qui ont une piscine ne peuvent pas trop compter sur les pompiers, qui refusent de pomper dedans, leur responsabilité étant juridiquement engagée si ils cassent une dalle de margelle. 

Par contre ils pourront, à l’aide d’une moto pompe thermique s’autoprotéger : l’idée étant que :


- avant le feu, l’on doit ranger les meubles de jardin en plastic, bouteilles de gaz ;

- l’on doit ouvrir le portail pour permettre aux pompiers de passer

- l’on doit fermer les trappes de cheminée, les volets, et s’assurer de calfeutrer les ouvertures avec des linges humides (voir ci dessus les terpènes).

- cela ne servirait à rien d’arroser la végétation avant le passage du feu ;

- selon certains, cela peut être bénéfique d’humidifier les maisons ;

- il est conseillé d’arroser après le passage du feu.


La deuxième manière consiste à anticiper, et pour cela, à débroussailler. 

C'est un impératif et une obligation légale.


L’élimination des résidus de coupe se fait de la façon suivante :

- S’ils sont verts, (exemple : gazon), il est interdit de les bruler et ceux ci sont assimilés à des déchets ménagers au sens de la législation européenne et traités comme tels.

- Le compostage quand c'est possible, est une méthode intelligente pour à la fois  nourrir son sol et réduire les broussailles.

- Certains peuvent utiliser l’aide d’ânes, de chèvres et de moutons.

- Et si les résidus de coupe sont secs de plusieurs mois, (chêne, mimosa, olivier …) ils peuvent être incinérés selon les prescriptions de l’arrêté préfectoral 2014-453 : à partir du moment ou l’on remplit tous les critères, il n’est pas besoin de demander d’autorisation. Les critères sont pour l’essentiel, la plage horaire, la grosseur du tas, la présence d’une ressource en eau, l’absence de vent, la période (interdit du 1er juillet au 30 septembre et pendant les périodes rouges mobiles), l’absence d’arbre à l’aplomb, etc etc.


Qui doit couper : celui qui a une « installation », qui présente une valeur, un risque d’allumage, ou une présence humaine. Un exemple : ne doit pas débroussailler celui qui est propriétaire d’un château d’eau ; mais si cette installation est surmontée d’une antenne, il faut débroussailler. Doit également débroussailler le propriétaire d’une caravane qui y habite même ponctuellement.


Un rappel : On ne va pas débroussailler chez son voisin sans son autorisation : c’est sacré. 

On ne débroussaille pas les zones Natura 2000 (c’est le gestionnaire qui le fera).

On ne débroussaille pas le long des vallons, ce pour maintenir la biodiversité.


Quand débroussaille t’on ? Quand l’herbe jaunit, et avant l’été.


Le principe :

- Le débroussaillement règlementaire n’est pas une coupe rase : les arbres sont seulement mis à distance les uns des autres.

- Maintien des premiers feuillages des arbres à une certaine distance de tout point des constructions et de leurs toitures (méthodes de calcul).

- Suppression des herbes et arbustes en sous étage

- Élagage afin que les branches les plus basses se trouvent à une certaine hauteur


Nous sommes à votre disposition pour toute question complémentaire.




samedi 4 mars 2023

Réunion d'information

 

 

La Mairie, les services techniques, et l'Office National des Forêts 

organisent une réunion d'information sur la déforestation le débroussaillage.

 

 

Où ?

Elle aura lieu au stade Pierre Bel, au bas du village, près des parkings.

 

Quand ?

Le 6 mars à 18h15. 

 

Pourquoi ?

Après une présentation des enjeux, et des dispositions légales, il est prévu une séance de questions / réponses. Les moyens à mettre en oeuvre. Incidences sur la loi de protection de la nature et des animaux, ce que dit le code rural (livre II), etc. 


Sans  les traditionnels "collectifs unipersonnels" tintinnabulants qui ne représentent qu'eux mêmes.

Mais avec de vrais professionnels qui sont là pour vous informer sans langue de bois.



Vous avez des questions ? 

Vous voulez écouter ce qui se dit, et ainsi  mieux comprendre les dispositions écrites, et non écrites ?

Cette réunion est faite pour vous.


Commodités ?

BBB n'a pas prévu de "réaction à chaud", ni de prendre la parole ; mais vous connaissez tous notre intérêt sur ce sujet qui nous concerne tous.

Aussi, si vous travaillez, BBB enverra deux de ses membres, l'un  pour vous représenter, l'autre pour vous faire ensuite un Verbatim, ou un résumé.



 


lundi 8 août 2022

GE(NE)RER LA PÉNURIE. (Par A. T.)

 


Chaque année à pareille époque, la Tribune Libre des journaux locaux est la même:   « c’est les vacances ! »  

(En attendant la rentrée, la Noël et autres marronniers). 

Et l’on peut dire qu’ils ne se trompent pas.


Alors, en ces périodes estivales, un de nos amis, Biotois depuis près de 50 ans, est descendu de la capitale où il réside, pour passer comme chaque année, quelques vacances sympathiques, entre cigales et méditerranée, pastaga, pétanque,  bonne humeur et fiestas villageoises.


Las, son docteur Parisien pris d'un doute, lui recommanda de faire une prise de sang,   et sitôt celle ci effectuée, la biologiste d’un laboratoire de Biot 3000 le somma de passer par la case « admissions d’urgence » du plus proche hôpital, et ce sans toucher les 20.000 francs.


Qu’à cela ne tienne, La Fontonne est toute proche et il paraît que c’est climatisé … 

Ben non, on est complets, on ne vous reçoit pas.


Hôpital Pasteur alors ? 

Mais mon cher monsieur, vous n’avez pas vu l’article du 11 juillet de Nice Matin, on est complets ; et vous venez de Paris en plus ?! 

Pourquoi ne rentrez vous pas chez vous à Paris ? 


Etc. On va faire court avec mon histoire,  d’autant que je ne sais pas pourquoi je vous raconte cela.


Sans doute parce que l’on cherche toujours à bétonner davantage dans la région, alors que l’on n’a même pas d’autonomie alimentaire, contrairement à d’autres régions ou d’autres pays,  et que la qualité de l'air, et les infrastructures,  hospitalières, routières, de production d’eau,  ou autres, ne répondent plus.  


Espérons juste que notre ami parisien pourra rentrer chez lui : Nice Matin nous apprend l'existence d'une pénurie d'essence dans la région :  forte demande des touristes, et interdiction de circulation des poids lourds livreurs le week end. On autorise la livraison de carburant pour les circuits automobiles, mais pas pour les touristes le week end. 


Nos décideurs n’ont certainement pas ce genre de contraintes, et tant pis si leurs décisions   détruisent l’économie locale, basée précisément sur la satisfaction et la confiance de l’ami visiteur.



Et puis, c’est les vacances, et c’est un scoop, il fait chaud. Très chaud. Et l’on doit économiser l’eau. On peut couper des arbres. Ça s’appelle du débroussaillement, ou de la requalification, selon les cas. Et ici aussi c’est bon pour le réchauffement de la planète.  


Pourtant, la démarche d’économie d’eau est très saine en soi ; personnellement cela fait un moment que j’utilise la douche plutôt que le bain,  et pour tout vous dire, je suis un meilleur client de Paul Ricard que de  Véolia.


Cependant, il est étonnant que chaque année nos intellectuels produisent des arrêtés préfectoraux, comme par exemple celui du 28 juillet 2022, pour gérer la situation de pénurie dans laquelle nous sommes. Bientôt ce type d’arrêté qui n’aura d’exceptionnel que le nom, sera reconduit  en février ou en avril.


Ces arrêtés  mettent tellement en évidence l’incurie et les lacunes des décideurs, que l’on finit à se demander si ce genre de texte n’a pas pour but de faire se battre  des groupes de citoyens : « les bons », ceux qui économisent l’eau et ne boivent que du vin, et les « lépreux », ceux qui cultivent la pelouse sur les voies du tram à Nice, ou qui, comme à Cagnes sur Mer, construisent des immeubles et détournent une source en direction des égouts.


Détendez vous … demain sera pire ! Et voici pourquoi :

Car cela fait des années que j’arpente la Savoie, le Mercantour, et parfois d’autres montagnes un peu plus éloignées.  Et j’y vois de vertes prairies, belles, bien humides, bien grasses.


En questionnant les habitants, j’apprends qu’il n’a plus plu depuis des mois …

L’eau provient de la fonte des glaciers.

Et cela fait des années.


Alors ma question est simple : Et quand il n’y aura plus de glaciers pour alimenter la Vésubie ? 


Hé bien croyez que M Estrosi aura intérêt à courir vite, si il ne veut pas être contraint  par une bande d’assoiffés à partager sa cave personnelle, qui risque d’ailleurs de s’avérer insuffisante.


De fait, les maires, qui ont bien compris les enjeux, entendent garder les prérogatives qu’ils ont déjà perdues …  et font pression pour que les communautés d’agglomération conservent le pouvoir de gérer l’eau de leur territoire.


Et puis certains ont même des idées intéressantes, demandez par exemple à M Ginesy.


A Biot, notre bon maire a entrepris il y a quelques mois d’arracher toute la parcelle de vigne communale, celle qui se trouve près du parking du village : on a des vieilles vignes ? Tout le monde sait que les vieilles vignes font  du bon vin. Hé bien on les arrache ! A croire que le jardinier  de la vigne de Biot n’a pas eu la place cacuminale, mais plutôt celle de la voiture balai du lycée horticole.


Et puis il y a les jardins partagés de St Eloi, mais notre bon maire laissera son siège qu’on n’y aura pas vu pousser un pied de tomate. 


Pourtant,  on y avait cru :  en tant que responsable de l’eau d’irrigation, (c’est encore un des rares pouvoirs qu’il lui reste), il a entrepris voici quelques mois des « travaux de sécurisation et curage du béal » (sic) qui passe au bas du village, et qui peut alimenter ces jardins d’une eau quasi gratuite (il suffit d’ajouter une pompe).


Quelques semaines plus tard, le premier magistrat se félicite : « les travaux d'amélioration et de sécurisation sont achevés ». Coût 65000 euros de travaux pour … reboucher le béal qui existe depuis des siècles et qui a donc été supprimé ! Si c’est cela du  curage  et de l’amélioration ...

D'autres villes auraient procédé très différemment, et pas loin d'ici.


Une certitude : avec la fonte des glaciers, « demain sera pire » …


Car notre avenir est il de nous contenter de gérer la pénurie ? Va t’on vivre avec l’essence stockée dans des bouteilles en verre, la bassine en plastic pour récupérer l’eau de pluie, et la lampe à pétrole pour s’éclairer,  comme à Tié-Tié ou à Bacongo,  sur les rives du fleuve du même nom ? Que pouvons nous faire d’autre ?


Hé bien nous avons à notre disposition au moins deux leviers :


- Respecter la nature. Essayer de réfléchir à deux fois chaque fois qu’il s’agit de couper un arbre, de construire un trottoir goudronné ou une piste cyclable à la place d'un arbre, ou de faire passer un train dans la nappe phréatique qui alimente le robinet de la communauté. Cela veut dire aussi sévir face à ceux qui ne respectent pas la nature, les incendiaires par exemple, mais pas seulement.


- Créer des usines de production d’eau. Autrement dit, des désalinisateurs.  Mais me direz vous, c’est plus facile de sortir un décret pour gérer la pénurie, que de fabriquer une usine, comme à Barcelone, en Vendée , ou en Corse.  Différentes technologies sont possibles, dont celle de l’osmose inverse, qui permet d’obtenir de l’eau à un coût entre 1 et  2 euros le m³, hors frais de distribution.

Peut être devrait on faire comme certains pays africains … c’est à dire demander de l’aide aux Chinois ?

Faute de quoi l'on risquerait bientôt d'apprendre qu'il n'y a plus d'eau à cause de la guerre en Ukraine ... Rassurez vous, comme partout, cela en arrangerait certains ...


Alors qu’attendons nous … Les prochaines élections ?  « Misère » (dirait l’autre  …)  


Vu la rapidité des choses, cela risque de venir plus vite que prévu.


Votre ami A.T.

jeudi 14 juillet 2022

Actualités PPRI

 


Vous êtes tous concernés : le saviez vous :



Le PPRI – Plan de Prévention des Risques d’Inondations a été validé 


par M le Préfet des Alpes Maritimes, le 27/6/2022

Référence AP n° 2022-048.



Bleu Blanc Biot pense que c’est important de vous avertir : 



« Bien informés, les hommes sont des citoyens ; 

mal informés, ils deviennent des sujets » 

(Alfred Sauvy) 




Association N° W061008728 - 


Notre article sur le sujet, en novembre 2020 :

http://bbb06.blogspot.com/2020/11/plan-de-prevention-des-risques.html


Pour davantage d'informations, vous pouvez nous contacter.


mardi 7 juin 2022

Elections législatives 2022 : BBB questionne les candidats

 


BLEU BLANC BIOT - Comité de Défense des Intérêts Biotois
Association 1901 - N° W061008728
Siège : Les terrasses de Saint Julien - 1778 Chemin de Saint Julien - 06410 BIOT
http://bbb06.fr.nf combbb2020@gmail.com

Aux candidats aux élections législatives de la 7e circonscription des Alpes Maritimes,

Elections des 12 et 19 juin 2022 :



Marie-José VALLADE (Ecologie libre et rassemblée)

Arnaud DELCASSE (Gauche Républicaine)

Eric PAUGET (UDI)

Arthur MEYER-ABBATUCCI (Nupes)

Yassin-Faïsal BELGUECHI (Divers sans étiquette)

Eric MELE (Ensemble)

Audrey MARIUS (Reconquête)

Axel HVIDSTEN (Ecologie au Centre)

Laurie FEBVAY (Debout la France)

Megane PARGAUD (Ecologiste)

Tanguy CORNEC (Rassemblement National)

Bérengère HUMBERT (Divers droite)

Stanislas MARECHAL (Parti Pirate)

Christian PETARD (Lutte Ouvrière)

 



Les Elections Législatives de juin 2022 verront pour notre circonscription 14 candidatures ;

Notre association souhaite stimuler le débat en interrogeant les candidats sur un certain nombre de points qui nous paraissent importants dans notre circonscription.

Ces points ont été évoqués avec les candidats lors des élections municipales ; nous les rappellerons ci après :



Selon Alfred Sauvy, « Bien informés, les hommes sont des citoyens ; mal informés, ils deviennent des sujets »

Partant du principe que la démocratie doit d’abord être pratiquée au niveau local, que comptez vous mettre en place pour instituer une Démocratie plus forte :

° Transparence des débats, Conseils qui soient véritablement publics et pas seulement des organes de ratification de décisions non débattues ;

° Utilisation des Référendums d’initiative Populaire pour les Grands projets locaux (Urbanisation surdimensionnée et LGV néfaste),

° implication du Citoyen au Cœur des Projets communs, sur tous les sujets importants (notre futur, notre qualité de vie) …

° Implication de Conseils des Sages réels et non fictifs, et dont on sache le rôle, ce qu’ils font, et comment on y participe.



En octobre 2015 Biot a souffert d’inondations, qui ont coûté la vie à trois personnes à la maison de retraite de Biot 3000, sans compter les pertes matérielles. Il ne s’agit pas d’un problème spécifiquement Biotois, aussi que comptez vous mettre en place pour protéger notre Environnement, sa Faune et sa Flore, mais aussi les citoyens,  particulièrement contre les inondations et risques d’incendies ?

Notre association conseille un entretien accru des routes, ruisseaux, berges, rivières, et réseaux techniques.



Avez vous des projets pour la protection de l’identité et la culture locale de nos villages et villes ? 

Fêtes culturelles,  intéresser nos écoliers  à l’Histoire locale, etc.



La Sécurité des Biens et des Personnes dans votre circonscription vous paraît elle une priorité ?

En particulier, notre association avait suggéré la création d’une brigade canine sur Sophia Antipolis.


5° Logements et Emplois : Notre circonscription est très loin de l’autonomie alimentaire, ni même des ratios de terres cultivées (de France, Belgique, Italie, Espagne, Angleterre, Allemagne pour ne citer qu’eux).

Pensez vous qu’il faille continuer à bétonner notre région, alors que des habitations vétustes dans nos villages ne demandent qu’à être restaurées, et que quantité de bureaux vides existent dans nos zones d’activités économiques, et pourraient être transformées en logements ?

Pensez vous qu’il est utile de construire des logements pour des personnes étrangères à la circonscription,  alors que localement les plus pauvres, ou chômeurs, ou même des personnes  à mobilité  réduite sont en recherche de logements, mais ne sont pas prioritaires ?



 Nous vous remercions vivement pour votre avis sur ces différents points,



Avec nos cordiales salutations.





Michel CAU

Président du Comité de Défense des Intérêts Biotois « BLEU BLANC BIOT »


















BBB - (Page 5)

vendredi 20 mai 2022

Compte rendu de la réunion du vendredi 13

 


L'objectif de notre réunion était de se retrouver,  de partager le verre de l'amitié, de chanter, danser, s'amuser, car c'est en tissant des liens transversaux que l'on peut travailler ensemble de manière efficace.


Rencontre, mélange des genres, on retrouve quatre grandes tendances représentées, ainsi qu'une quarantaine de participants d'horizons divers, et la fête fut belle !


Notre Président a su interpréter avec brio quelques titres du niçois Dick Rivers, étant précisé qu'il s'en est très bien sorti puisqu'il n'avait répété que depuis la veille.


D'autres participants ont su également nous éblouir par leurs compétences, au chant, à la guitare électrique, ou aux platines un peu plus tard dans la soirée.

Les contacts sont pris, la soirée fut belle, et l'on note une réelle volonté de se retrouver pour travailler ensemble : bravo, et merci à tous.